Lors de la Super Fête Marius Fournier de mercredi dernier, le 10 juillet 2024, une partie de l’équipe de Loisir sport Outaouais a donné de son temps afin de supporter la municipalité de St-André-Avellin, qui sont membres chez LSO. Le Complexe Whissell a accueilli environ 800 personnes, malgré les nuages, et beaucoup de plaisir était tout de même au rendez-vous!

Plusieurs camps de jour était présent, tels que celui de Papineauville, Val-des-Bois, SAJO et plusieurs autres. Pour une journée que l’on pouvait dire occupée, elle l’était! Plusieurs activités inclusives étaient animées, comme l’initiation au karaté par Pierre Boyer de Kamaé, l’initiations à l’athlétisme par le Club Athlétique Petite-Nation, le spectacle et initiation au Breakdance par la troupe Moov, les jeux gonflables ont été loués de la compagnie Mini Jeux Chartrand et supervisés par l’organisme Prévention Cesar. Il y avait aussi un repas de spaghetti servi pour tous et le service chaleureux a été assuré par les employés de la municipalité de St-André-Avellin. Les enfants ont pu profiter de neuf (9) structures gonflables, toutes plus grosses et impressionnantes les unes que les autres, en plus d’avoir la chance de se faire maquiller par deux très talentueuses maquilleuses. Malgré la pluie, les campeurs, les animateurs, les bénévoles et les familles présentes ont pu profiter de leur journée bien remplie de rires et d’activités intéressantes; rien n’empêche le plaisir à St-André-Avellin!

C’est bien connu : l’art apaise l’âme. En créant, on trouve une paix intérieure et une satisfaction de soi qui impacte plusieurs autres sphères de notre vie, telle que notre estime de soi, nos relations avec les autres, notre façon d’interagir et de réagir, et cetera. Le 17 juillet dernier, je me suis déplacée afin d’aller observer un atelier du COFFRET CLÉD’ART au Relais des jeunes Gatinois.

Le COFFRET CLÉD’ART est un service de loisir culturel clé en main, adapté aux personnes avec ou sans handicap. Il propose des ateliers flexibles et accessibles, animés par des artistes professionnels. Le coffret contient des fiches descriptives des ateliers, incluant description, objectifs, matériaux, biographies et coordonnées des artistes. Les ateliers sont adaptés à tous les âges et niveaux, répondant aux aptitudes spécifiques de la clientèle.

J’ai eu la chance de voir une quinzaine d’enfants apprendre sur la teinture de tissue au travers d’un atelier tie-dye. Les artistes présentes, Gabby Ewen et Thoma Ewen, du Centre Moon Rain, pratiquent depuis plus de 25 ans l’art du textile. Grâce à leurs talents, patience et douceur, les participants ont eu la chance de découvrir le plaisir qu’est le tie-dye. L’activité était inclusive pour tous et s’est déroulée sur une période de 3 heures.

Qu’est-ce que le tie-dye? La teinture par nouage ou en anglais tie-dye est un type de teinture et de décoloration sur textiles que l’on retrouve sous différentes variantes dans de nombreuses cultures ancestrales. Elle a été réinventée dans les années 1960-1970 aux États-Unis et est devenue emblématique des hippies et du mouvement psychédélique (Wikipédia).

Les enfants étaient étonnamment extrêmement patients et calmes lors de l’activité; ils écoutaient chacun des mots des artistes, tout en effectuant les étapes avec attention et minutie. L’expérience aura permis aux enfants de développer leur confiance, leur attention au détail et leurs connaissances des techniques de teinture sur textile.

L’activité a été rendue possible grâce au soutien du ministère de la Culture et des Communications du Québec.

Pilier dans sa communauté, Jean-Pierre de Beaumont crée l’Académie de Pickleball le 26 juin 2023, grâce au financement de Loisir sport Outaouais. L’Académie de Pickleball a donc pu acheter des lunettes, des raquettes, des filets et des balles, afin d’offrir encore plus de services à ses membres et aux citoyens de notre région.

Grand voyageur, il est maintenant à la retraite et fait de son temps une mine d’or, en offrant des cours d’initiation de pickleball aux curieux, et ce même gratuitement parfois, au travers de l’Outaouais. Depuis son arrivée à la retraite en 2016, Jean-Pierre a remporté plusieurs médailles lors de tournois locaux, régionaux, de championnats québécois, canadiens, nord-américains et internationaux.

Tout d’abord, qu’est-ce que le pickleball? Le pickleball est un sport de raquette qui peut être joué à l’intérieur ou à l’extérieur. On utilise une raquette qui ressemble à celle du racquetball, un filet qui ressemble à celui du tennis et un terrain qui ressemble à celui du badminton. C’est un sport qui peut être joué à tous les âges et qui divertit toute la famille.

Mais d’où vient le pickleball? Le sport a été inventé dans les années 1960 aux États-Unis par un certain Joel Pritchard, un politicien, pour divertir ses enfants. Ce dernier avait un chien, nommé Pickle, à qui il demandait d’aller chercher la balle lorsqu’elle roulait trop loin. La véracité de cette hypothèse est impossible à prouver, elle est néanmoins celle que les amateurs préfèrent raconter. (Radio Canada)

En juin 2023, Madame Sonia Bélanger, ministre responsable des Aînés et ministre déléguée à la santé, déclare favoriser le vieillissement actif, tout comme l’Académie de Pickleball. L’Académie est omniprésente en Outaouais et vous avez pu la voir au salon FADOQ en octobre 2023, au festival BougeBouge 2023 et 2024 au centre Asticou, aux parcs municipaux de Messines et Blue Sea lors de sessions gratuites de découverte de Pickleball,  et en conférence lors de la Journée des Aînés de 2023 à Wakefield.

Comme l’activité physique et de nouveaux apprentissages sont essentiels pour rester jeune de corps et d’esprit, n’hésitez pas à contacter jeanpierre_de_beaumont@hotmail.com. Vous pourriez être la prochaine communauté à accueillir des sessions de découverte gratuite de Pickleball.

Source : https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1724885/engouement-pickleball-quebec-outaouais-gatineau#:~:text=Origine%20du%20nom%20pickleball,lorsqu’elle%20tombait%20trop%20loin

La municipalité de Fort-Coulonge a inauguré son tout nouveau pumptrack samedi passé. Plusieurs maires et mairesses des autres municipalités étaient présents et également la préfète de la MRC de Pontiac Jane Toller. Ce joyau est le fruit d’une attente de trois années de gestation. Loisir sport Outaouais avait eu une rencontre avec la maire Christine Francoeur en juillet 2021 pour discuter d’un enjeu, le manque d’infrastructures pour rendre actif les adolescents et les adolescentes. Un pumptrack est venu rapidement sur la table à dessin. Pourquoi ? 

  • Premièrement, il n’y avait à l’époque aucune infrastructure similaire dans la MRC de Pontiac.
  •  Deuxièmement, les pumptracks ont besoin de peu d’entretien. 
  • Troisièmement, les enfants, les adolescents et les jeunes adultes en sont de grands utilisateurs.
  • Ce type d’infrastructure attire les jeunes familles et les excursionnistes au niveau touristique. 

La maison des jeunes du Pontiac a donné le terrain en guise de partenariat. La Caisse-Populaire de Fort-Coulonge a offert 10 000$, le député André Fortin a financé les estrades et plusieurs autres commerçant ont donné des commandites. Le leadership politique y est pour beaucoup dans la réalisation de ce projet. Lorsqu’une communauté se prend en main, elle peut faire des miracles. 

Pour faire une visite guidée en mode vidéo, veuillez cliquer ici.

Dans le but de valoriser la profession d’animateur de camp de jour, nous avons créé un concours et incitons les animateurs qui travaillent dans les camps de jour cet été (2024) à participer ! Il ne suffit que de créer une vidéo créative qui met en lumière les motivations personnelles des animateurs à travailler dans les camps. Place à l’originalité !

RÈGLEMENTS

  1. Pour participer au concours, tu dois répondre aux conditions suivantes :
    -Travailler dans un camp de jour municipal ou associatif (OBNL) de l’Outaouais durant l’été 2024
    -Être âgé de 15 ans et plus
  2. Pour que ton vidéo soit admissible il doit :
    -Avoir une durée de 15 à 30 secondes maximum
    -Aucune présence de campeurs à l’écran (ni de face, ni de dos)
    -Faire preuve de GBS (gros bon sens) dans la conception de ton vidéo publicitaire (Pas d’alcool, de drogue ou de vulgarité)
  3. Il est de ta responsabilité de valider si tu as le droit de porter ton uniforme de camp (ou non) devant la caméra avec ton supérieur.
  4. Date limite de participation : 1er septembre 2024, à midi
  5. Où déposer ton vidéo : Concours de pub! (google.com)
  6. Méthode d’attribution du prix :
    Un comité de sélection composé des employés de Loisir sport Outaouais évalueront les vidéos et choisirons le vidéo gagnant.
  7. Prix : Un prix de 500$ sera remis au gestionnaire du camp gagnant afin d’être utilisé à l’été 2025 pour bonifier la programmation de leurs activités.
  8. Annonce du camp gagnant :
    -Le camp gagnant sera annoncé le mercredi 4 septembre à midi sur la page Facebook de Loisir sport Outaouais et sur notre site web au www.urlso.qc.ca
    -La personne qui a soumis le vidéo sera avisée par courriel et par téléphone
    -Le gestionnaire du camp de jour gagnant sera aussi contacté par courriel et par téléphone
    -Nul autre que Mélanie Robitaille, mrobitaille@urlso.qc.ca ou 819-663-2575 n’entrera en contact avec le camp gagnant
  9. Loisir sport Outaouais s’engage à transmettre le prix au camp gagnant.
  10.  »Un différend quant à l’organisation ou à la conduite d’un concours publicitaire peut être soumis à la Régie des alcools, des courses et des jeux afin qu’il soit tranché. Un différend quant à l’attribution d’un prix peut être soumis à la Régie uniquement aux fins d’une intervention pour tenter de le régler. »
  11. Une personne au bénéfice de laquelle un concours publicitaire est tenu, son employé, son représentant, son mandataire ou un membre du jury ou les personnes avec qui ils sont domiciliés ne peuvent participer à ce concours.
  12. Les présentes règles remplacent les Règles relatives aux concours publicitaires (R.R.Q., 1981, c. L-6, r. 3).
    En cas de doute, les Règles relatives aux concours publicitaires (R.R.Q., 1981, c. L-6, r. 3) prévalent.

Unis pour l’éducation hors les murs : former des écocitoyens actifs physiquement afin de favoriser leur réussite éducative


Gatineau – Le 17 juin 2024 –
Initié par la professeure Geneviève Lessard du Département des sciences de l’éducation, Unis pour l’éducation hors les murs, en naturea permis de conclure des partenariats pour différents projets entre l’UQO, la Fondation forêt Boucher et Loisir sport Outaouais ainsi qu’avec la Table Éducation Outaouais et des écoles.

La rectrice de l’UQO, Murielle Laberge a tenu à souligner les effets plus que bénéfiques de cette concertation avec nos partenaires sur le mieux-être de nos enfants. « Ces projets permettront à ces jeunes personnes de vivre des moments uniques hors des classes tout en leur permettant d’apprendre et d’enrichir leur savoir. Les vraies retombées de ces projets seront celles qui permettront à ces enfants de faire un pas un peu plus loin dans la vie ».

Selon la professeure Lessard : « Les objectifs des partenaires se rejoignent. L’agglomération de nos expertises et de nos ressources nous permet de former des écocitoyens critiques, actifs physiquement et bien dans leur tête, leur corps et leur cœur. L’éducation hors les murs permet de développer la curiosité intellectuelle et revisiter des savoirs scolaires fragiles. Et nous faisons le pari que cela permettra de construire un rapport aux savoirs et à l’école plus positifs.  Et tout ça, ce sont les enfants et toute la société qui en profiteront! »

Camp d’été à la forêt Boucher: Prendre soin de la tête, du corps et du cœur pour une meilleure réussite éducative !

Un des projets du partenariat entre l’UQO, la Fondation de la forêt Boucher, Loisir sport Outaouais, la Table Éducation Outaouais et avec l’appui de Desjardins, le camp d’été qui se déroulera dans la forêt Boucher prévoit que 36 enfants de l’école Internationale du village qui rencontrent des difficultés scolaires participeront gratuitement à plusieurs cycles d’apprentissage en forêt développés par le Comité des activités dans la forêt Boucher (CAF) et mis en œuvre par des enseignant.es qualifé.es et des étudiant.es en formation initiale en éducation à l’UQO. Le camp se terminera avec un bilan des expériences fait par les enfants dans le cadre d’une marche commentée à partir de leur journal de bord.

« Enfants aujourd’hui, décideurs demain : sensibiliser les enfants aux problématiques de conservation et de préservation des espaces naturels dès leurs bas âges permet de les préparer à la prise en compte des variables environnementales dans les décisions qu’ils seront amenés à prendre, créant ainsi les conditions pour que ce précieux trésor qu’est la forêt Boucher, soit protégé de génération en génération », affirme le directeur général de la Fondation de la forêt Boucher, Mageland Yepmézoué.

Créée en 2007, la Fondation forêt Boucher a pour mission de protéger, de préserver et de mettre en valeur la flore et la faune de la forêt Boucher, notamment en aménageant son territoire et en organisant des projets éducatifs et événements environnementaux.  L’objectif est de préserver ses écosystèmes et éduquer le public sur l’importance de protéger la forêt Boucher et sur l’écologie en général. Ce partenariat va nous permettre de développer le volet éducatif de la fondation, ce qui, pour nous, est très important.

Pairage UQO / école Notre-Dame : une éducation ancrée dans le territoire !

Un projet de l’UQO avec la Table Éducation Outaouais (TÉO) et Loisir sport Outaouais qui vise à mettre en place, de septembre à décembre 2024, un système de pairage entre des étudiant.es du programme d’éducation en adaptation scolaire de 3e année de l’UQO et une trentaine d’enfants en difficulté scolaire de l’école Notre-Dame dans le Vieux-Hull. Ce sera près de 300 heures qui seront offertes en soutien à ces enfants.

Les étudiant.es universitaires inscrit.e.s au cours Prévention et soutien de l’élève en difficulté, avec la professeure Lessard pourront donc proposer des situations éducatives ancrées dans le territoire (place-based learning) afin de favoriser la réussite éducative des enfants. L’obtention de la subvention par la Table Éducation Outaouais permettra de reconnaitre financièrement le précieux travail des personnes étudiantes.

« En plus de renforcer le sentiment d’appartenance et de développer des liens significatifs avec l’environnement de notre communauté, le projet amplifiera la portée des actions de l’école et contribuera à la réussite éducative et sociale des élèves. »

L’implication de la Table Éducation Outaouais

Grâce au financement octroyé par le ministère de l’Éducation du Québec en janvier 2024, dans le cadre du Plan de rattrapage, et au financement du Centre des services scolaire des Portages-de-l’Outaouais, la Table Éducation Outaouais soutient financièrement ces deux initiatives issues de la collaboration entre l’école et la communauté.  

« Ces initiatives, visant directement à soutenir les enfants rencontrant des difficultés scolaires, comportementales, ou vivant dans des milieux défavorisés, sont le fruit d’une collaboration étroite entre des organisations dédiées à la réussite éducative des jeunes de la région, illustrant ainsi l’engagement des partenaires de l’Outaouais. Les jeunes et les familles de notre région peuvent compter sur le soutien de professionnels compétents et engagés, prêts à les accompagner avec bienveillance », souligne Steve Brabant, président de la TÉO.

Loisir sport Outaouais

Grâce au programme eX3, Loisir sport Outaouais dispose d’équipement de plein air qui sera mis à la disposition des jeunes participants dans le cadre des projets, et ce tout à fait gratuitement. Il s’agit de sacs à dos, de sièges, de planchettes pour écrire, de jumelles pour l’observation d’oiseaux, de rubans à mesurer, de loupes : l’équipement parfait pour cultiver la curiosité intellectuelle des enfants qui font une activité en extérieur.

« L’un des programmes mis en œuvre par notre organisme va exactement dans le même sens que ceux proposés : eX3 est un programme de plein air en milieu scolaire qui vise à contrer le déficit nature chez les jeunes et à valoriser les bienfaits de la pédagogie nature. eX3 a à cœur la réussite éducative de tous les élèves. »

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Source:      Gilles Mailloux, Directeur, Direction des communications et du recrutement

Université du Québec en Outaouais

819 595-3900 poste 3981 / 819 962-0845 cellulaire

Une des forces d’un bon agent de développement, est celle de s’inspirer des bons coups qui l’entourent. Lorsqu’il voyage pour le travail ou pour le plaisir, la curiosité de connaître ce qui se fait de mieux dans les communautés rurales et urbaines viennent le chercher comme une dépendance. Lors de la 2e semaine de mai, Normand a été visité ça maman à La Sarre. En chemin, il s’est arrêté à Amos pour visiter la Maison des jeunes Desjardins ainsi que le quartier de la jeunesse. 

Dans cette bâtisse récente qui a été construite après un incendie qui a eu lieu en 2018, on y retrouve tout ce qu’un adolescent rêve d’avoir. Au rez-de-chaussée, on y retrouve une cuisine, une zone pour faire ses devoirs, une table de ping-pong, des toilettes, une douche et le bureau des animateurs. Les jeunes sont responsables du ménage de la bâtisse. On souhaite ainsi responsabilité les adolescents dans le respect de la propreté des lieux. Au sous-sol, on y retrouve une zone jeux vidéo, un gymnase, une salle de cinéma maison, des balançoires, une table de billard et une table de babyfoot. Tous les aménagements ont été pensés de façon à offrir de l’espace, de l’esthétisme et une diversité au niveau de l’offre de loisir. On parle d’une soixantaine de jeunes par soir qui viennent profiter de ce petit paradis.

La Ville d’Amos et de nombreuses entreprises ont contribué financièrement dans la construction et l’aménagement de cette nouvelle maison des jeunes. Le bâtiment est loué gratuitement à la maison des jeunes par la Ville d’Amos. On permet donc aux employés de se concentrer d’offrir une programmation de loisir diversifiée et de qualité. La maison des jeunes est donc un produit d’appel pour le quartier de la jeunesse qui offre des infrastructures sportives et récréatives extérieures. On y retrouve un pumptrack, un terrain de deck-hockey et un skatepark. Toutes ses infrastructures sont situées à moins de 100 mètres de la maison des jeunes. Le Centre de services scolaire Harricana a contribué à la réalisation du quartier de la jeunesse. On parle donc d’un succès d’un partenariat scolaire/municipal. 

Ces exemples pourront peut-être devenir des sources d’inspiration pour de futurs projets en Outaouais. La cohérence est une condition de succès à l’aménagement des territoires. Encore faut-il se donner la chance d’avoir une vision et d’y adhérer de la part de tous les partenaires. Pour y parvenir, il faut être capable de laisser son égo organisationnel de côté et de travailler tous ensemble pour le bien des citoyens. 

Pour écouter l’entrevue avec l’animatrice Cathy Brouillette : cliquez ici

Pour accéder à la banque de photo et de vidéo : cliquez ici

Pour visiter le quartier de la jeunesse à Amos : cliquez ici

COMMUNIQUÉ – POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

VARENNES, le 10 juin 2024 – Le Réseau des Unités régionales de loisir et de sport du Québec (Réseau des URLS), la ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air et députée de Brome-Missisquoi, Mme Isabelle Charest et des dizaines de partenaires oeuvrant dans le domaine du loisir et du sport, se sont réunis aujourd’hui au Polydôme de Varennes afin de souligner l’avancement du projet circonflexe prêt-pour-bougeret de célébrer les partenariats significatifs qui se déploient graduellement dans l’ensemble du Québec. Tous unis par un même objectif : accentuez les occasions de bouger!

circonflexe – prêt-pour-bouger – est un projet provincial piloté par le Réseau des URLS, les URLS ainsi que leurs partenaires, visant à rendre accessible gratuitement à la population québécoise, des équipements sportifs, récréatifs et adaptés et ainsi diminuer les freins à la pratique de sport et de loisir.

Point de départ du projet
Mai 2022 marque l’annonce d’un financement d’envergure de 40,7 millions de dollars sur cinq ans, par le gouvernement du Québec, qui viendra changer le portrait de la pratique libre de sport et de loisir au Québec en réinventant le modèle d’accès aux équipements sportifs, récréatifs et adaptés. Pour le Réseau des URLS et les URLS à qui on octroie ce mandat, c’est le point de départ d’un grand projet québécois qui uni, amplifie, voire accentue le mouvement et les efforts de centaines de partenaires pour permettre à la population québécoise d’être active.

« Depuis mon arrivée en poste, j’ai fait de l’accessibilité à la pratique d’activités sportives et de loisir ma priorité. Trop souvent la disponibilité de l’équipement et les coûts qui y sont reliés peuvent représenter un frein important. Il est primordial que toutes et tous puissent y avoir accès. Évidemment, ça passe par toutes sortes de moyens et la mise en oeuvre des centrales d’équipements du projet circonflexe – Prêt-pour-bouger est une façon innovante de démocratiser l’accès aux activités sportives, récréatives et adaptées! Je salue le dynamisme du Réseau des Unités régionales de loisir et de sport du Québec et tous les partenaires qui sont mobilisés à la grandeur du territoire. »
– Mme. Isabelle Charest, ministre responsable du Sport, du Loisir et du Plein air

Un projet rendu possible grâce à la force des 17 URLS
En ce 10 juin 2024, circonflexe prêt-pour-bouger célèbre l’ensemble des énergies investies et des initiatives déployées, ainsi que celles qui sont en cours de réalisation, tout en soulignant la force mobilisatrice des 17URLS. Cette annonce relève une étape marquante dans le développement du projet circonflexe qui se poursuivra jusqu’en 2027. C’est en effet un premier pas nous menant vers une approche populationnelle tournée vers l‘usager.

« Les partenaires de partout au Québec se mobilisent actuellement à trouver leur couleur, leur modèle, pour
rendre accessibles les équipements à leur communauté. À preuve, tout près de 400 sites ont vu le jour un peu
partout au Québec en seulement un an et ce n‘est que le début. Ensemble, on est à installer une culture de
partage et d‘entraide pour faire en sorte que tous puissent bouger librement et spontanément grâce aux
équipements gratuits mis à leur disposition.»

-M Steeve Ager, Directeur général du Réseau des URLS

Des chiffres significatifs Cette initiative panquébécoise mobilise actuellement un peu plus de 500 partenaires tant au niveau local, régional que provincial et atteindra bientôt plus de 400 points de service partout au Québec! Les URLS sont des organisations dévouées, qui accompagnent les acteurs·trices de leur région respective pour mettre en place des points de service circonflexe qui reflètent les besoins et respectent les réalités du milieu assurant ainsi la pérennité du projet.

Qu’est-ce qu’un point de service circonflexe?
Un point de service circonflexe peut prendre différentes formes : comptoir de prêt, casier connecté en libre-service et unité-mobile. Le comptoir de prêt peut se retrouver à l’intérieur d’un établissement comme un centre sportif ou encore une bibliothèque. L’unité-mobile permet de rapprocher les équipements de la population et prend la forme d’une remorque ou d’un camion qui transporte les équipements. Le casier connecté libre-service est un système innovant et autonome de mise à disposition de matériel. Les initiatives de prêt d’équipement impliquent des acteurs·trices de toutes sortes : de villes, d’organismes communautaires, de plein air, des centres de loisirs, des parcs régionaux, etc.

Restez à l’affût pour trouver un des points de service bientôt disponible dans votre région. Visitez le circonflexe.ca pour tout savoir sur le projet!

circonflexe – prêt-pour-bouger – c’est du prêt d’équipement sportif, récréatif et adapté gratuit, partout au Québec. C’est une invitation à converger vers un mode de vie actif, ou du moins de s’en rapprocher à son rythme. Avec circonflexe nous sommes prêt-pour-bouger, en toute spontanéité. Accentuer le mouvement au Québec, c’est l’objectif que se donne circonflexe !

Le Réseau des URLS – met en valeur le rôle et l’action de ses membres, représente leurs intérêts collectifs, les accompagne dans la réalisation de leur mandat – améliorer l’offre publique en loisir, en sport, en activité physique, en plein air et en loisir culturel – en stimulant le codéveloppement et la synergie avec ses partenaires.

SOURCE
Marie-Eve Fleury | Gestionnaire de projets
mfleury@reseau-urls.quebec

Myriana Côté | Coordonnatrice communication et marketing
mcote@reseau-urls.quebec
418-880-0844

Mathieu Durocher | Attaché de presse, Cabinet de la ministre
responsable du Sport, du Loisir et du Plein air
mathieu.durocher@education.gouv.qc.ca
418-805-0233

COMMUNIQUÉ DE PRESSE
POUR DIFFUSION IMMÉDIATE

Gatineau, le 3 juin 2024 – La délégation de l’Outaouais est de retour à Gatineau à la suite du plus grand rassemblement d’artistes amateurs du Québec, le Rendez-vous panquébécois, l’ultime étape du programme Secondaire en spectacle. Du 30 mai au 2 juin, 900 jeunes se sont réunis à Thetford Mines pour performer sur scène, assister à des formations et visiter les attraits touristiques de la ville hôte du RVPQ. L’Outaouais était fièrement représentée avec 52 participantes et participants, provenant de 11 écoles différentes.

Les artistes, animatrices et maître de cérémonie lauréats des finales régionales ont performé devant les autres régions lors de l’événement. La jeune technicienne a quant à elle assuré le bon déroulement technique des spectacles des artistes du samedi soir. Les jeunes organisateurs et journalistes avaient un programme de formation spécifique pour ce volet.

Plusieurs participants libres ont eu la chance de se joindre à la délégation de l’Outaouais pour vivre l’événement et suivre différents ateliers. En effet, ils ont pu assister à des formations et performances avec Émilie Bilodeau, Marco Ema, Jeanne Côté, Fredz, Ariane Roy ou Kinkead, entre autres. De plus, plusieurs visites touristiques étaient au programme, comme une visite au Centre d’interprétation Magasin Général O’Brien, une randonnée au Parc du Sommet, une visite du Musée Minéro et des belvédères BC/quartier Mitchell, ou encore le Centre historique de la Mine King.

La coordonnatrice de programmes de Loisir sport Outaouais et cheffe de délégation, Lyne Massicotte, se réjouit de l’expérience unique que les participants ont vécue :

« Je les trouve courageux nos jeunes d’oser participer à cet événement d’envergure ! Ils sortent de leur zone de confort, vont à la rencontre de jeunes des autres régions qui sont animés par la même passion, tissent des amitiés, et rencontrent des artistes professionnels lors de leur formation ! Le RVPQ c’est une expérience exceptionnelle et tellement enrichissante. ».  

Les intervenants scolaires, François Joseph Bélanger (École secondaire Nouvelle-Ère), Amélie Albert (Polyvalente Nicolas-Gatineau) et Patrick Teixeira (Polyvalente Le Carrefour), France Galipeau (École du Cœur-de-la-Gatineau) et Philippe Laramée (Cité étudiante de la Haute-Gatineau) qui accompagnaient la délégation abondent dans ce sens :

« C’est une expérience inoubliable, autant pour les adultes accompagnateurs que pour les jeunes. C’est formidable de les voir s’affirmer en tant qu’artistes et se découvrir. Il y a un esprit de camaraderie et on devient une grande famille ! ».  

Pour certains élèves, leur participation au RVPQ est une première expérience :

« C’est vraiment enrichissant d’apprendre plusieurs styles d’art différents. Je vais m’en rappeler longtemps, on rencontre beaucoup gens et tout le monde s’accepte ! J’ai adoré les soirées festives. ».  – Chloé Berthiaume, Polyvalente Nicolas-Gatineau, secondaire 1

« Il n’y a aucune gêne ici, tout le monde peut être comme il le veut et s’affirmer dans sa personnalité. C’est une occasion unique de se faire des amis! J’ai beaucoup aimé le voyage en autobus pour s’y rendre!» .  – Megane Enright, Polyvalente Nicolas-Gatineau, secondaire 1

Lors de la cérémonie de clôture du samedi soir, le comité organisateur du RVPQ a dévoilé le lieu hôte de l’édition de 2025 : Amqui, dans la région du Bas-St-Laurent, du 29 mai au 1er juin 2025.

Rappelons que Loisir sport Outaouais a pour mission de stimuler le développement régional en loisir, en sport et en plein air, en partenariat avec le milieu, afin de favoriser l’épanouissement des communautés de l’Outaouais.  

Renseignements :
Lyne Massicotte
Coordonnatrice de programmes
819-663-2575, poste 225
lmassicotte@urlso.qc.ca

Loisir sport Outaouais a offert à tous les candidats à la mairie de Gatineau l’opportunité de s’exprimer sur quatre (4) enjeux en lien avec le loisir et le sport : les camps de jour, les infrastructures, l’intégrité dans le sport et le plein air urbain. Tous les candidats participants ont répondus aux mêmes questions. Vous trouverez ci-dessous les réponses de Mme Maude Marquis-Bissonnette.

CAMPS DE JOUR

Le service de camp de jour est utilisé par de nombreuses familles gatinoises. Pour plusieurs d’entre elles, ce service s’avère essentiel pendant la saison estivale afin de permettre aux parents d’occuper leur emploi. Quelles sont vos propositions pour maintenir le service de camp de jour à Gatineau accessible et de qualité ?

« La Ville n’a pas toujours tous les leviers qu’elle voudrait pour aider les gens qui en ont besoin. Mais les camps de jour, c’est un très bon exemple de services de base qui font une différence concrète dans le quotidien des familles. On ne parle pas seulement d’une colonne de chiffres dans le budget. Maintenir l’accessibilité et la qualité, c’est fondamental pour Maude.
Les moyens qu’on prend pour y arriver, c’est une question de choix. Chaque année, lors de la préparation du budget, Action Gatineau propose des mesures de diversification des revenus pour ne pas devoir couper dans les services ou augmenter les tarifs. Maude veut continuer dans cette voie pour donner la marge de manœuvre dont la Ville a besoin pour offrir des meilleurs services sans augmenter la taxe foncière. »

SÉCURITÉ ET INTÉGRITÉ DANS LES SPORTS ET LES LOISIRS

Nous sommes tous et toutes touchées par les histoires entendues dans les médias quant aux situations d’abus et de violences dans le milieu sportif. Plusieurs parents sont inquiets face aux situations vécues par nos jeunes dans leurs activités de loisir et de sport. Quel rôle, selon vous, la Ville de Gatineau doit-elle jouer dans la valorisation d’un environnement sportif et de loisir sain et sécuritaire pour tous ?

« Qu’on pratique le sport de façon compétitive ou récréative, tout le monde a droit à un environnement sain et respectueux. Ce n’est pas un privilège. La Ville joue un grand rôle d’encadrement. Elle soutient les organismes en mettant à leur disposition des ressources (par exemple des infrastructures), ça lui donne un levier pour instaurer des balises claires qui partent du principe que tout athlète a droit à un environnement sécuritaire pour la pratique de son sport. Concrètement, la Ville doit aider les organismes à débanaliser la violence vécue en contexte sportif (à l’aide de formations ou de campagnes de sensibilisation) et s’assurer que les athlètes ont accès à un système efficace de traitement des plaintes.« 

INFRASTRUCTURES

Le développement et l’entretien des infrastructures sont toujours des enjeux d’actualité en loisir, en sport et en culture. Que l’on parle d’arénas, de bibliothèques ou de centres communautaires, ce sont des lieux importants qui sont utilisés par toute la population. Quels sont pour vous les projets d’infrastructures prioritaires en matière de loisir, de sport et de culture à Gatineau ?

« Les infrastructures de loisir, sport et culture sont essentielles à la qualité de vie. Si on veut que les gens soient fiers de leur ville, ils doivent avoir un accès équitable à des terrains de sport, des centres communautaires, des bibliothèques, etc. C’est un engagement clair du programme d’Action Gatineau pour le mandat en cours.
Le Complexe sportif de l’Ouest et la bibliothèque Guy-Sanche sont déjà très avancés. Le conseil doit s’assurer de maintenir le cap, parce que ce sont des projets-clés. On peut citer aussi le dôme de soccer qui est attendu depuis longtemps. Le plus rapidement possible, il faudra répondre aux grands besoins de nouvelles glaces à Buckingham et Masson-Angers, d’une piscine intérieure à Hull. Il y a aussi l’aménagement du Parc des Cèdres à Aylmer qui est très attendu.
La liste exhaustive des besoins est très longue et c’est primordial que le conseil l’analyse dans son ensemble, au lieu d’autoriser des projets à la pièce. C’est essentiel d’être équitable entre les secteurs et de prioriser en fonction des besoins déterminés par le milieu. Le Plan directeur des infrastructures récréatives, sportives et communautaires sera donc un bon guide.
On ne peut pas parler d’infrastructures sans parler de diversification des revenus. Si on ne se donne pas les ressources financières nécessaires, on ne sera jamais capable de concrétiser nos ambitions et il y a moyen d’en faire plus avec les outils actuels. Depuis le début du mandat, c’est près de 50M$ que Gatineau a laissés sur la table en redevances de développement. On aurait pu faire 10 dômes avec cet argent. En termes de financement, c’est important de retourner toutes les pierres, comme les opportunités de partenariats public-privé ou les subventions de Québec.
Gatineau pourrait aussi faire preuve de plus de créativité par rapport à l’utilisation des espaces. Maude veut trouver une formule pour aménager les bassins de rétention pour en faire des espaces verts accessibles et sécuritaires. Il y a certainement d’autres façons de maximiser nos investissements
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PLEIN AIR URBAIN

Nous sommes choyés, à Gatineau, d’avoir accès à de nombreux espaces verts dans lesquels nous pouvons pratiquer le plein air urbain, été comme hiver. Qu’aimeriez-vous faire de plus pour permettre à Gatineau de continuer de se démarquer en termes de plein air urbain et d’accessibilité aux espaces verts ?

« Il faut renforcer les partenariats avec la CCN, qui possède beaucoup de pistes cyclables et infrastructures de plein air urbain à Gatineau. Beaucoup de pistes cyclables et sentiers traversent nos milieux de vie mais sont sous-utilisées en hiver, notamment à cause d’enjeux techniques. On peut donner l’exemple du projet de damage du sentier des voyageurs, porté par les associations de quartier. Ça permettrait d’améliorer l’offre en plein coeur de Gatineau. La volonté et le potentiel sont là, le défi pour la Ville est de trouver un moyen d’adapter ses façons de faire. En collaborant mieux avec les partenaires, combien de nouveaux sentiers de ski de fond, de raquette ou de fatbike pourrait-on rendre accessibles? Ce serait bon pour le plein air urbain et pour la mobilité durable.«